Départ donc de Nouméa le vendredi après le boulot, 2h30 plus tard, de nuit on arrive dans le camping de la Moara, à une dizaine de kilomètres de Thio. Ici, c'est la brousse, l'authentique côte Est, des paysages magnifiques, de la tranquilité. Le programme du week-end : barbecue(s), sieste, baignade, bouquinage, ...ça fait déjà beaucoup, non ?
Sitôt arrivé, la barbecue est lancé et le camp installé.
Au petit matin, voilà ce qu'on découvre en ouvrant la tente :
On a perdu nos bonnes habitudes de la brousse, à savoir toujours avoir une machette avec soi. Peut importe, on a aussi appris qu'on pouvait ouvrir les cocos avec un pieu planté dans la terre. Mika à l'oeuvre ci-dessous :
Il faut reconnaitre que ça marche plutôt bien. De toute façon on avait pas le choix, Charlotte n'avait jamais mangé de coco en 6 mois passés en Calédonie, on ne pouvait la laisser partir dans son ignorance : le bonheur d'une coco fraichement ouverte au petit déjeuner sur la plage. Les plus attentifs auront remarqué que la chronologie n'est pas respectée : la coco a été ouverte avant que le film de la sortie de le tente ne soit filmé par Charlotte, la coco étant déjà dépecée sur le film !
Tout d'abord, se reposer de l'effort matinal :
Pendant ce temps Olwen s'active à son tour et part à la chasse aux "nanards" sur le platier. Pour info, le platier c'est un recif coralien frangeant qui part de la plage et qui s'étend vers la mer. A marée basse, le récif est à fleur d'eau, parfait donc pour aller chercher les bernards l'hermites. Mais pour quoi donc ?
Pour pêcher bien sûr ! Olwen va étrener sa canne à pêche qu'elle n'a pu tester à Hienghène. En fait la canne à pêche locale se résume à une petite bouteille sur laquelle on entoure le fil.
Le cadre de pêche est particulièrement beau. Mais bon, ça ne changera rien, Olwen manque de patience et elle est de retour après 5 minutes.
Après-midi farniente, les Jus et Seb nous rejoignent, enfin les jus repartent en fin d'après-midi.
On finit l'après-midi par une petite séance base-ball:
et puis la nuit commence à pointer sa frimousse, il est donc temps de lancer le barbecue. Heureusement qu'on ne campe pas pendant une semaine, ça deviendrait répétitif :-)
Le dimanche, après le petit-dej, la baignade et les siestes obligatoires, on plie le camp : objectif : la route à horaires et les sources chaudes de Canala. Ces mêmes sources qu'on n'a pu visiter il y a quelques semaines en raison d'une panne de voiture. Thio, à bientot. Canala nous revoilà.
Petit tour par la route à horaires, une route où la circulation est alternée : 1h Thio->Canala, 1h Canala -> Thio. Route étroite à flanc de montagne, sans bitume, sensations garanties. La vue est très belle. A peu près 40 minutes de traversée.
Et puis nous arrivons aux "thermes" Canala, un grand mur défraichi signale le site.
et puis c'est tout ce qui reste d'infrastructure. Ensuite, au milieu d'un espèce de terrain vague, 2 baignoires sont posées, des tuyaux déversent des eaux chaudes chargées en souffre dedans. Ca donne que très moyennement envie. Mika trempera bien les pieds 30 secondes, mais c'est plus pour le fun que le plaisir. Il n'y a pas à dire : "Canala, c'est comme ça !", que de souvenirs à chaque fois!
Il faut reconnaitre que ça marche plutôt bien. De toute façon on avait pas le choix, Charlotte n'avait jamais mangé de coco en 6 mois passés en Calédonie, on ne pouvait la laisser partir dans son ignorance : le bonheur d'une coco fraichement ouverte au petit déjeuner sur la plage. Les plus attentifs auront remarqué que la chronologie n'est pas respectée : la coco a été ouverte avant que le film de la sortie de le tente ne soit filmé par Charlotte, la coco étant déjà dépecée sur le film !
Tout d'abord, se reposer de l'effort matinal :
Pendant ce temps Olwen s'active à son tour et part à la chasse aux "nanards" sur le platier. Pour info, le platier c'est un recif coralien frangeant qui part de la plage et qui s'étend vers la mer. A marée basse, le récif est à fleur d'eau, parfait donc pour aller chercher les bernards l'hermites. Mais pour quoi donc ?
Pour pêcher bien sûr ! Olwen va étrener sa canne à pêche qu'elle n'a pu tester à Hienghène. En fait la canne à pêche locale se résume à une petite bouteille sur laquelle on entoure le fil.
Le cadre de pêche est particulièrement beau. Mais bon, ça ne changera rien, Olwen manque de patience et elle est de retour après 5 minutes.
Après-midi farniente, les Jus et Seb nous rejoignent, enfin les jus repartent en fin d'après-midi.
On finit l'après-midi par une petite séance base-ball:
et puis la nuit commence à pointer sa frimousse, il est donc temps de lancer le barbecue. Heureusement qu'on ne campe pas pendant une semaine, ça deviendrait répétitif :-)
Le dimanche, après le petit-dej, la baignade et les siestes obligatoires, on plie le camp : objectif : la route à horaires et les sources chaudes de Canala. Ces mêmes sources qu'on n'a pu visiter il y a quelques semaines en raison d'une panne de voiture. Thio, à bientot. Canala nous revoilà.
Petit tour par la route à horaires, une route où la circulation est alternée : 1h Thio->Canala, 1h Canala -> Thio. Route étroite à flanc de montagne, sans bitume, sensations garanties. La vue est très belle. A peu près 40 minutes de traversée.
Et puis nous arrivons aux "thermes" Canala, un grand mur défraichi signale le site.
et puis c'est tout ce qui reste d'infrastructure. Ensuite, au milieu d'un espèce de terrain vague, 2 baignoires sont posées, des tuyaux déversent des eaux chaudes chargées en souffre dedans. Ca donne que très moyennement envie. Mika trempera bien les pieds 30 secondes, mais c'est plus pour le fun que le plaisir. Il n'y a pas à dire : "Canala, c'est comme ça !", que de souvenirs à chaque fois!